Ces responsables de la police étaient poursuivis par le Front national pour la transition (FNDC), pour « violence volontaire, atteinte à la vie privée, violence de domicile, destruction de biens » au préjudice de Sekou Koundouno et Ibrahima Diallo, tous membres dudut Front.
Après l’identification des prévenus, la défense a demandé le renvoi du dossier. La partie civile a rejeté cette demande et sollicité de son côté l’exécution du mandat d’arrêt émis le 24 septembre 2020 contre les deux cadres de la police.
Finalement, le tribunal a renvoyé l’affaire au 14 février prochain.
Daouda Yansané